NOS VALEURS : ENGAGEMENT / EFFICACITÉ / DÉPASSEMENT

LE RECRUTEMENT NOTRE CONSEIL D’EXPERT

Vos parcours, réussites, difficultés sont en permanence suivis par des chasseurs de têtes.

En effet, vous représentez la cible idéale pour les besoins des clients en recherche, mais aussi votre responsabilité est un atout déterminant pour le cabinet qui aura peut être la chance de vous accompagner dans vos besoins en recrutement.

Quelle attitude à avoir ? Nous vous encourageons à être des plus courtois. En effet , ils vous contacteront peut être et vous proposeront un poste en adéquation avec votre projet personnel.

Lors de l’interview, soyez des plus disponibles. Trouvez un lieu où vous ne serez pas dérangé, et surtout la confidentialité interne et externe est l’un de pilier de cette approche.

Pourquoi vous ? Vous avez été sollicité par un chasseur de têtes. Il recherche le candidat idoine. Ses prérogatives sont strictes, son cahier des charges est clairement défini par des attentes précises d’un client qui l’a mandaté. Alors ne soyez pas surpris par des questions personnelles, jouez le jeu.

Faites vous connaître : le chasseur de têtes ne vous trouvera pas par hasard. Vous aurez été choisi par le biais de l’ensemble des informations que vous aurez communiqué.

Votre Réseau : relations, collaborateurs, amis nous communiquent beaucoup d’informations sur des candidats cibles.

Gestion des informations : Internet offre une multitude d’informations sur nos candidats cibles. Nous possédons notre propre pépinière et suivons de prêt ou de loin des candidats à potentiels immédiats,et en devenir.

Exploitez les opportunités : le succès commence par des opportunités, créez les ! En effet, avant d’être pris au dépourvu lors de situations délicates professionnellement, ayez toujours une solution de repli.

Créez les opportunités : les opportunités en or ne se présentent pas sous forme de paquet cadeau avec une étiquette explicite. En effet, les opportunités ne sont que très rarement présentées sous la forme de recrutement traditionnel « par annonce ».

Créez le mouvement, tissez des liens afin d’attirer toutes les opportunités vers vous. Lors de Conférences ou autres opportunités, vous pouvez approcher les gens au hasard. Mais ayez les idées claires sur vos objectifs et stratégie.

l’esprit en éveil : Etre curieux. Ce qui fait très certainement votre force dans votre poste actuel est votre capacité à développer vos compétences… Stratégiques, managériales,..

Soyez curieux : là où d’autres voient des obstacles, vous voyez des opportunités. Augmentez de façon spectaculaire le flux d’opportunités : notamment en consultant les réseaux sociaux, en intégrant des groupes, ou autres.

Votre plan B : Créez en permanence des opportunités professionnelles. En effet, vous serez le dernier à être informé de vous inscrire dans un autre projet professionnel. Nous sommes très souvent sollicités et mandatés alors que l’ancien dirigeant est encore en poste…

 » Tout le monde est à la recherche d’opportunités, même sans le savoir. »

Accompagnez, on vous renverra la pareille : Ce qui caractérise le mieux ceux qui réussissent, ce sont non moins leurs talents et traits de caractères personnels que la façon qu’ils ont à aider les autres, à épanouir leurs talents.

inscrivez vous dans autant de groupes et d’associations que possible, et soyez-y un participant actif.

Nous nous connaissons très certainement déjà, dans nos cibles, notre réseau, nos connaissances,…

Nous vous encourageons à nous suivre sur nos Réseaux . LinkedIn, par e-mail, en direct….

Pierre Marie TIXIER

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5, rue de Castiglione

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Groupe Inditex – Esprit Start Up

Esprit start-up avant l’heure…
Restant fidèle à la vision initiale du fondateur Amancio Ortega, le groupe Zara et des griffes sœurs. On la croyait devenue trop grosse pour échapper au ralentissement économique mondial. Et bien non !

L’invincible armada du fleuron espagnol de l’habillement Inditex a publié le mois dernier des résultats annuels (clos fin janvier) assez solides pour que la place madrilène ne soit pas chiffonnée par le nouveau cap pris par la chaîne mondiale de magasins de mode. Le PDG, Pablo Isla, taille dans l’inflation prévisionnelle des surfaces de vente (+ 6 à 8 % par an, au lieu de + 8 à + 10 %) sans en rabattre sur ses ambitions de ventes : la croissance organique et les achats en ligne combleront la différence.

Compte tenu de la macroéconomie mondiale, son choix n’est pas si surprenant. Il n’a même pas eu besoin de lever le voile sur les ventes en ligne – autour de 4 % du total l’an dernier, selon les analystes -, un secret bien gardé à Arteixo, près de La Corogne, où bat le coeur de l’empire mondialisé.

Ce passage progressif, mais résolu, à une « fully integrated approach », une plate-forme intégrée pour magasins physiques et numériques, les investisseurs mondiaux ne la voient pas d’un mauvais oeil. « Inditex s’inscrit parfaitement dans le thème des « économies post-crises » qui nous intéresse tout particulièrement. Il concerne des entreprises très bien placées pour servir les économies et les marchés en croissance car elles savent enrichir leur offre avec tous les nouveaux services qui tournent autour de la digitalisation ou de la désintermédiation », explique Isabelle Delattre chez Raymond James Asset Management International.

Le défi n’en reste pas moins grand : les clients demandent des livraisons de plus en plus immédiates. Passant toutes par ses centres de distribution espagnols, les commandes mettent 24 heures ou 48 heures à arriver dans les 7.000 magasins dans le monde, selon la distance. C’est impressionnant, mais ce n’est plus aussi exceptionnel qu’avant. Et pourtant, le modèle d’affaires d’Inditex, un cas d’école inusable pour les écoles de commerce, reste bien son meilleur atout pour sa transformation et il est difficile à copier.

Esprit start-up avant l’heure
Car la grande force du propriétaire de Zara et des griffes soeurs, c’est d’être resté fidèle à la vision initiale de son fondateur, Amancio Ortega, resté l’actionnaire majoritaire depuis la cotation en 2001. Le génie de la confection et du management, qui va fêter ses quatre-vingts ans la semaine prochaine, a passé la main à son dauphin il y a cinq ans, mais son empreinte demeure omniprésente, un mélange de rapidité et de pragmatisme, pour remplir la mission première d’Inditex : donner aux clients les vêtements dont ils ont envie, de la mode de qualité abordable, en s’inspirant sans vergogne des créations de la haute-couture et du prêt-à-porter mais aussi des tendances de la rue. Sans oublier les nouvelles « avenues » de la toile et des réseaux sociaux.

Tout a commencé par un atelier de confection, ouvert en 1963 à La Corogne. Avec sa première femme aujourd’hui décédée, Rosalia, son frère Antonio et sa belle-soeur Franca, le jeune homme se lance dans la confection de pyjamas et de robes de chambre. Il ouvre ensuite sa première boutique Zara en 1975, quand il constate qu’il a raté des ventes et que les concurrents ne vendent pas ce que désire le plus la clientèle. Comme il adore le film « Zorba le Grec », il gardera trois lettres, et ce sera Zara. Parmi ses premiers succès, un pull shetland pour les pèlerins de Compostelle.

Mine de rien, cet esprit start-up avant l’heure a donné naissance à un modèle d’intégration verticale unique dans ce qui s’appellera la « fast fashion ». Dès les années 1980, Inditex a investi dans l’informatique et la logistique pour gérer au mieux ses stocks, à l’époque où la référence était Toyota. Aujourd’hui, il franchit l’étape des étiquettes intelligentes RFID, pas peu fier de son nouveau Technology Center : plusieurs centaines d’ingénieurs non loin du gros demi-millier de designers de mode. Ce n’est pas l’enfer de « Deep Fashion », car on est loin du jeu de go : « Tendances et mode sont trop imprévisibles pour qu’un algorithme nous fournisse les goûts qu’auront les gens », dit Pablo Isla au journal « Expansión », même si les réassorts tiennent compte de la morphologie des populations…

Chaque magasin passe commande deux fois par semaine, et le délai peut parfois être raccourci à deux semaines entre le dessin et le cintre. Tout reste tiré par la demande des clients, à la différence des autres grandes chaînes de prêt à porter (H&M, Uniqlo, Primark, Gap) qui poussent encore leur offre car elles sont attendues davantage sur la composante prix, ce qui les force à passer de plus gros ordres, plus à l’avance.

Pour en savoir plus… Nous vous encourageons à lire l’excellent article de sylvie Ramadier en suivant le lien 

Ou http://m.lesechos.fr/idees-debats/inditex-le-top-modele-de-l-habillement-021790001860.htm

Quelques chiffres clefs :

Chiffre d’affaires (au 31 janvier 2016) :
20,9 milliards d’euros (+15,4 %) dont Zara : 13,6 milliards (+17,5 %), soit 65 % du total.
Marge brute 12,1 milliards (57,8 % des ventes).
Résultat opérationnel 3,7 milliards (17,6 % des ventes).
Résultat net 2,9 milliards (+15 %).
Répartition géographique
Europe : 44 %
Espagne : 17,7 %
Amériques : 14,7 %
Reste du Monde : 23,5 %.
Rendement des fonds propres 26 %.
Effectif 152.854 (+11,5 %).
Capitalisation boursière 93,6 milliards.
Magasins 7.013 (dont 15 % de franchisés), dont 1.826 en Espagne, 566 en en Chine. Le nombre de magasins dans le monde a presque été multiplié par deux depuis 2007 (3.691).


 

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